24 février 2010
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Puisqu'il faut toujours conclure, même 3 mois après, je vais tâcher de m'appliquer à cet exercice. Je rêve d'un monde où les retours n'existeraient pas, où le rêve primerait sur la réalité et voyager à la rencontre des autres serait un métier. Malheureusement il faut parfois tout laissé ce qu'on a aimé, appris et vécu derrière soi et retrouver le connu. J'ai eu beaucoup de chance de pouvoir réaliser ce projet et je remercie toutes les personnes qui m'y ont encouragées et soutenues. Je salue également toutes les personnes que j'ai rencontrées et qui ont laissé sur moi une trace indélébile, je remercie le ciel de m'avoir protégée et je vis cet éternel retour avec la satisfaction d'avoir réalisé un rêve.
Je ne pensais pas que tout serait à ce point différent là bas. La vie se fige dans les traditions, mais elle est toutefois belle et paisible. Sentiments de stress, solitude, sont inconnus au bataillon, la société est construite autour de la solidarité familiale, entre membres d'un clan, entre voisins. On vit sans se poser trop de questions existantielles en essayant surtout de survivre et de respecter les règles imposées par sa culture et sa famille. J'ai beaucoup appris et je vais tâcher à présent d'en tirer la quintessence dans un livre qui sortira si Dieu le veut, en temps voulu et j'essairai également de conserver la sérénité orientale dans laquelle j'ai été bercée pendant tous ces mois de nomadisme.
Pour le mot de la fin, je m'éffacerai tout simplement derrière Sainkho Namtchylak, cette fille de nomade qui connait mieux que personne les traditions et l'esprit des steppes et des montagnes.
Je ne pensais pas que tout serait à ce point différent là bas. La vie se fige dans les traditions, mais elle est toutefois belle et paisible. Sentiments de stress, solitude, sont inconnus au bataillon, la société est construite autour de la solidarité familiale, entre membres d'un clan, entre voisins. On vit sans se poser trop de questions existantielles en essayant surtout de survivre et de respecter les règles imposées par sa culture et sa famille. J'ai beaucoup appris et je vais tâcher à présent d'en tirer la quintessence dans un livre qui sortira si Dieu le veut, en temps voulu et j'essairai également de conserver la sérénité orientale dans laquelle j'ai été bercée pendant tous ces mois de nomadisme.
Pour le mot de la fin, je m'éffacerai tout simplement derrière Sainkho Namtchylak, cette fille de nomade qui connait mieux que personne les traditions et l'esprit des steppes et des montagnes.